WOLFRAM

Un physicien utilise Mathematica pour développer un programme d'optique au CERN

« Son langage de programmation est la caractéristique distinctive de Mathematica. Le traitement des listes, la programmation fonctionnelle et l'orientation objet sont d'un intérêt général pour toutes les applications, symboliques ou non. Dans les contrôles d'accélérateurs, l'aspect symbolique est limité, mais la liaison des algorithmes aux bases de données et aux programmes C des interfaces graphiques est à la fois efficace et élégante grâce à Mathematica et MathLink. »

À 100 mètres de profondeur sous la ville de Genève en se trouve un accélérateur de particules d'une circonférence de 27 kilomètres utilisé pour étudier les particules subatomiques. En créant des collisions à des énergies fantastiques, il est possible de créer des particules qui, autrement, ne seraient apparues que lors de la violence du Big Bang.

Une expérience réussie nécessite un contrôle et une focalisation précis des faisceaux relativistes. Bruno Autin, physicien au CERN, a utilisé Mathematica pour créer un programme d'optique afin d'accomplir cette tâche délicate mais complexe.

« Les calculs optiques impliquent de lourdes manipulations de matrices et la résolution d'équations algébriques de haut degré. Les capacités d'algèbre symbolique de Mathematica constituent un outil idéal pour calculer les modules optiques, » explique Autin.

L'avantage Wolfram

  • Symbolique : résolution d'équations et découverte de structures générales.
  • Graphique : visualisation de la solution.
  • Programmation : manipulation efficace de listes et de matrices.
  • MathLink : établissement de liens avec des bases de données et des interfaces personnalisées.